XALIMA NEWS:Avec le football le Sénégal bénéficie un vaste chantier d’infrastructures sportives avec le programme chinois. Ce programme chinois pour les infrastructures sportives consiste à la construction et la réfection des stades régions régionaux.
Et certains stades ont déjà été réceptionnés. Il s’agit des ceux de Demba Diop, Aline Sitoé Diatta ou Me Babacar Sèye pour ne citer que ceux-ci. Alors que d’autres sont en cours comme à Mbour.
C’est dire que le tout nouveau président élu doit poursuivre cette politique d’autant plus qu’elle avait commencé avec lui autant où il était Premier ministre (2004-2007). Par contre l’arène nationale que le monde de la lutte réclame tant, elle doit être le domaine des privés. Pour preuve ce sont les prometteurs qui bénéficient de la lutte sénégalaise avec frappe alors que l’Etat du Sénégal n’y gagne rien.
Par contre, la construction enceintes pour la lutte des traditionnelle relève des autorités publiques
En plus de ces différents éléments, le sport sénégalais est confronté à des problèmes d’infrastructures. Sur ce plan, ce sont les sportifs d’élite qui doivent bénéficier de la politique sportive de l’Etat.
Ces différentes disciplines sont le football, le basket-ball, l’athlétisme et les arts martiaux. Présentement, le Sénégal ne peut pas organiser une coupe d’Afrique des nations de football encore moins un championnat d’Afrique de basket-ball.
La faute au manque de stades et de salles qui répondent aux normes internationales. Pour le football, le Sénégal n’a que le stade Léopold Senghor alors que le basket-ball, le stadium Marius Ndiaye, la seule
et unique salle ne remplit pas toutes les conditions. Pourtant ces deux disciplines nous ont valu beaucoup de satisfaction. Pour le football avec l’épopée des «Lions» en 2002, le Sénégal fut bien connu sur le plan international au sortir du mondial asiatique.
Alors que le basket-ball est le sport collectif le plus titré au pays avec plus de 15 titres continentaux en hommes et dames.
Tidou
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