XALIMA NEWS – Restons dans l’ambiance de ce grand débat autour de la surenchère autour de la manifestation du Parti (ex) «dolécratique » sunugaalien et ses alliés pour dire que leur défenseurs continuent de se manifester jusqu’au sein de tous ceux qui les avaient défaits en mars 2012. «Taxaw temm», le mouvement d’Ibrahima Fall apprécie l’interdiction de manifestations du gouverneur en parlant de «dérives autoritaires des pouvoirs publics de plus en plus notées qui entravent l’exercice des libertés publiques, individuelles et collectives ». La Direction exécutive provisoire «rappelle que les droits de manifestation et d’association sont des droits fondamentaux garantis par la Constitution et appelle à leur respect absolu».
Elle tient également à préciser qu’«il n’appartient pas aux pouvoirs publics de dicter le calendrier des manifestations aux citoyens ou aux partis politiques. Qu’en la matière, l’autorité publique est seulement juge de la légalité et non juge de l’opportunité ». Et même si Ibrahima Fall et ses camarades disent ne pas ignorer «les enjeux de communication politique qu’offrent le sommet de la Francophonie que le Pds et ses alliés veulent exploiter pour mettre la pression sur les procédures de Crei», ils n’en rappellent pas moins les «obligations constantes» de respect de la Constitution, de la sécurité publique comme du reste le nettoyage et l’embellissement réguliers les villes du pays».
Le Populaire