XALIMANEWS : La région de Sédhiou « championne des abris provisoires » présente le meilleur taux de réussite au BFEM avec 72,43%.Ainsi, malgré les grèves cycliques, Sédhiou a tiré son épingle du jeu.
D’après un responsable de la zone, cette réussite est due « grâce à l’engagement des enseignants, qui, malgré les grèves, ont pu organiser des cours de rattrapage pour permettre à Sédhiou de se hisser sur le toit du Sénégal pour le BFEM » s’est-il félicité.
Par ailleurs, la région de Sédhiou est la « championne des abris provisoires » mais, cela a le don de doper les enseignants pour qu’ils se transcendent davantage.
Les Sénégalais devraient être informés sur les moyens qu’avait la République de Cuba pour en arriver à un taux de cent pour cent de taux d’alphabétisation. Cuba, s’est appuyé sur de très bons enseignants, engagés pour arriver, dès les années soixante-dix à pouvoir envoyer des centaines de médecins, d’ingénieurs et de professeurs de l’enseignement secondaire en Afrique et dans d’autres pays d’Amérique Latine et du Sud. On pourrait avoir des écoles en terre cuites, des lycées de la même matière et des universités confortables en bambou. Quelles conséquences fâcheuses y aurait-il si, au Sénégal nos enfants étaient accueillis dans des écoles en terre cuite ou crue ?
POUR INFO :
Sur les sommets enneigés des chaînes de l’Himalaya, près de la frontière pakistanaise, des militaires indiens passent leurs nuits sous des igloos en bois de bambou. L’invention a été mise au point par la Mission nationale sur les applications du bambou (NMBA), organisme public indien créé en 2005 pour imaginer des débouchés industriels à la plante.
Le matériau est idéal pour conserver la chaleur. Les maisons peuvent être assemblées en une journée, et coûtent deux fois moins cher que si elles étaient construites en ciment. Au Ladakh, région himalayenne du nord de l’Inde, elles ont remplacé les abris en bâches de plastique pour loger les victimes des inondations.
Les maisons en bambou sont si économiques et s’assemblent si rapidement que le gouvernement les utilise même dans des régions en proie aux insurrections, comme dans l’Etat du Chhattisgarh, où les bâtiments publics sont nombreux à être détruits par les rebelles naxalites. « Le bambou est plus solide que le bois, et il n’est pas inflammable », certifie Sanjiv Nair, directeur de la NMBA.
Longtemps ignoré en Inde, sauf par les tribus du nord-est du pays qui s’en servent depuis des temps immémoriaux pour leur habitat, leur nourriture ou comme remède de médecine traditionnelle, le bambou a été redécouvert après que la Cour suprême indienne a ordonné, en 1997, la fermeture des scieries du nord-est du pays au nom de la protection des forêts.
« On l’utilise dans certaines régions depuis la naissance jusqu’à la mort. Il sert à couper le cordon ombilical et est utilisé dans les rites funéraires », explique Sanjiv Nair. L’Inde abrite 30 % des ressources en bambou de la planète, alors que le pays ne réalise que 4 % du chiffre d’affaires mondial dans ce secteur.
« Longtemps, le bambou a eu mauvaise réputation à cause des famines qu’il a provoquées », souligne Sanjiv Nair. Il y a cinquante ans, certaines variétés avaient produit des fruits favorisant la multiplication…
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Les Sénégalais devraient être informés sur les moyens qu’avait la République de Cuba pour en arriver à un taux de cent pour cent de taux d’alphabétisation. Cuba, s’est appuyé sur de très bons enseignants, engagés pour arriver, dès les années soixante-dix à pouvoir envoyer des centaines de médecins, d’ingénieurs et de professeurs de l’enseignement secondaire en Afrique et dans d’autres pays d’Amérique Latine et du Sud. On pourrait avoir des écoles en terre cuites, des lycées de la même matière et des universités confortables en bambou. Quelles conséquences fâcheuses y aurait-il si, au Sénégal nos enfants étaient accueillis dans des écoles en terre cuite ou crue ?
POUR INFO :
Sur les sommets enneigés des chaînes de l’Himalaya, près de la frontière pakistanaise, des militaires indiens passent leurs nuits sous des igloos en bois de bambou. L’invention a été mise au point par la Mission nationale sur les applications du bambou (NMBA), organisme public indien créé en 2005 pour imaginer des débouchés industriels à la plante.
Le matériau est idéal pour conserver la chaleur. Les maisons peuvent être assemblées en une journée, et coûtent deux fois moins cher que si elles étaient construites en ciment. Au Ladakh, région himalayenne du nord de l’Inde, elles ont remplacé les abris en bâches de plastique pour loger les victimes des inondations.
Les maisons en bambou sont si économiques et s’assemblent si rapidement que le gouvernement les utilise même dans des régions en proie aux insurrections, comme dans l’Etat du Chhattisgarh, où les bâtiments publics sont nombreux à être détruits par les rebelles naxalites. « Le bambou est plus solide que le bois, et il n’est pas inflammable », certifie Sanjiv Nair, directeur de la NMBA.
Longtemps ignoré en Inde, sauf par les tribus du nord-est du pays qui s’en servent depuis des temps immémoriaux pour leur habitat, leur nourriture ou comme remède de médecine traditionnelle, le bambou a été redécouvert après que la Cour suprême indienne a ordonné, en 1997, la fermeture des scieries du nord-est du pays au nom de la protection des forêts.
« On l’utilise dans certaines régions depuis la naissance jusqu’à la mort. Il sert à couper le cordon ombilical et est utilisé dans les rites funéraires », explique Sanjiv Nair. L’Inde abrite 30 % des ressources en bambou de la planète, alors que le pays ne réalise que 4 % du chiffre d’affaires mondial dans ce secteur.
« Longtemps, le bambou a eu mauvaise réputation à cause des famines qu’il a provoquées », souligne Sanjiv Nair. Il y a cinquante ans, certaines variétés avaient produit des fruits favorisant la multiplication…
Mille excuses ! Ce doublon est malencontreux !