Le 20 janvier 2020, inch Allah le président Trump quittera la Maison Blanche pour céder les lieux à son successeur Joe Biden après seulement quatre années de présidence. Il n’aura fait qu’un seul mandat, ce qui est caractéristique des chefs d’État qui ne sont pas bien aimés de leur peuple, sauf s’ils ne veulent pas d’un second mandat pour des raisons qui leur sont propres.
Heureusement qu’il est le président d’un pays véritablement démocratique avec une justice digne de ce nom, sinon pour échapper à l’obsession d’un seul mandat, il se serait débarrassé d’un adversaire gênant, en l’incarcérant ou en l’exilant avec la complicité de la justice. Ce qui différencie encore les États-Unis d’un pays comme Ndoumbélane ,c’est que là-bas, on n’entendra jamais le président de la Cour suprême faire l’éloge de la First Lady lors d’une cérémonie publique empreinte de solennité, pour entrer dans ses bonnes grâces. Jamais un président en quête d’un second mandat n’aurait créé un subterfuge-genre parrainage – antidémocratique pour priver des citoyens d’un droit garanti par la constitution, celui d’être candidat. En Amérique, il ne viendrait à l’idée d’aucun ministre organisateur des élections de faire une rétention de cartes d’électeur d’une catégorie de la population supposée hostile au régime ; au pays de l’Oncle Sam, il n’est pas pensable de déplacer des électeurs d’est en ouest dans le dessein évident de les brouiller, ni de faire voter des marmots avec de fausses pièces d’état civil. Tous ces phénomènes auraient pu permettre à Donald Trump d’obtenir un second mandat si les États-Unis étaient la réplique de Ndoumbélane ou si la justice américaine était aussi corrompue.
Le comble de l’ironie, c’est que cette justice, dont nous rêvons tous, est l’objet d’une sévère prise à partie sous nos tropiques : en effet, le juge Teliko ,président de l’UMS aurait, selon ces « gardiens de l’orthodoxie » jeté le discrédit sur la justice de son pays: permettez-moi d’en douter ,la justice sénégalaise est ce qu’elle est ,on ne peut que faire des efforts pour l’améliorer .Selon l’ éminent juriste Seybani SOUGOU ,les magistrats du Conseil Supérieur de la Magistrature chargés « d’exécuter »le juge Teliko devaient choisir entre la liberté et la soumission :ils ont choisi le déshonneur et la soumission, se livrant pieds et poings liés au pouvoir exécutif. Et il ajoute : Les logiques de carrière, la volonté de bénéficier de privilèges, de postes juteux et d’avantages matériels n’expliquent pas tout :il y a dans la magistrature sénégalaise. des esprits faibles, parfaitement aptes à la soumission…Heureusement, il existe à côté, d’autres magistrats plus dignes et qui font honneur à leur serment, comme le juge Ibrahima DEME avant sa démission, pour les mêmes raisons.
Parlons maintenant de la félonie de l’homme qui voulait être roi et qui finalement s’est contenté de rejoindre la mouvance présidentielle en bouche -trou. La sagesse populaire dit bien « On profite quelquefois de la trahison, mais on hait et l’on méprise toujours les. traîtres » Le dernier remaniement-d ’autres parlent de purge-aura le mérite de nous édifier sur la véritable nature d’un tel homme à la larme et au sourire faciles ; il ne pourra plus nous embobiner avec des versets coraniques trompeurs. Il est curieux de constater que c’est maintenant seulement qu’il se rend compte de la primauté du décret divin sur tout évènement à venir, mais il oublie-ou feint d’oublier qu’il y a un préalable : le libre arbitre… Cet homme n’est qu’un sophiste, sans plus.
Yatma DIEYE, professeur d’anglais, Rufisque
Quand la haine vous étouffe, lisez le saint Coran et lavez votre coeur.
Cher monsieur Dieye, professeur d’anglais, quand vous aurez apporté à votre pays 1% de ce que Idrissa Seck a fait, votre avis pourra compter.
Cet homme a été le plus calomnié, le plus trahi que n’importe quel homme politique.
Il a pardonné à tout le monde comme lui recommande l’islam. C’est un homme valeureux, compétent et droit. Ce sont ceux là qui le dénigraient qui reviennent toujours lui tresser des lauriers. Je ne désespère pas de vous.
Attendez-moi sous l’orme
Ayez au moins l’honnetete de reconnaitre qu’il est devenu lui aussi une dame de compagnie apres Abdou Latif Coulibaly et Souleymane Jules Diop