Le président de la République Macky Sall sera à la Coupe du monde prévue en Russie du 14 juin au 15 juillet prochain, a annoncé, mercredi, El Hadji Hamidou Kassé, son ministre-conseiller en communication.
« Le président sera à la Coupe du monde. A quelle étape ? Je ne sais pas, c’est son agenda à lui, mais il y sera InchAllah ! Parce que le président est le premier supporter des Lions », a dit le ministre invité de la rédaction de l’Agence de presse sénégalaise.
Selon lui, « le chef de l’Etat l’a réaffirmé lorsque l’équipe nationale de football s’est qualifiée, il l’a réaffirmé à nouveau lorsqu’il recevait le trophée (de la Coupe du monde) et encore à chaque fois que l’équipe nationale est allée en compétition. C’est le premier supporter ».
« En tant que premier supporter de l’équipe, il ne peut pas ne pas aller en Russie », souligne-t-il.
« Il nous faut une obligation de moyens et de mobilisation populaire à commencer par le président de la République. Le monde du sport peut reconnaître sans faille l’engagement du président de la République en faveur de l’équipe nationale », a encore dit Kassé.
Cet engagement « n’est pas conditionné » par les victoires ou non de l’équipe, a-t-il souligné.
Et cet engagement du chef de l’Etat ne date pas d’aujourd’hui, car Macky Sall a « assisisté en tant que ministre de l’Energie à la Coupe d’Afrique des Nations en 2002 à Bamako », rappelle-t-il.
Le Sénégal est dans le groupe H avec comme adversaires la Colombie, le Japon et la Pologne.
aps.sn
Il dort tout le temps, se réveil et veut remplir un voeu que sa naissance de complexé a laissé sur lui. Comme ca il dira ,enfinnnnn j’ai assisté á une coupe du monde. Complexé de merde.
La question à se poser est la suivante: « Pourquoi il n y a aucun engouement populaire autour de cette participation au mondial? »
En 2002, on sentait le cachet populaire de l’événement et la fusion entre les joueurs et le peuple, cette fois, on dirait qu’on enferme les joueurs sous une cloche d’airain.
Il aurait mieux fait de s’occuper de ses taches au lieu d’aller accentuer la pression sur les joueurs, qui de toute façon sont attendus par leurs adversaires.