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Samba Fatim Mbaye : Conseiller en développement rural communautaire au niveau de plan/Thiès.:« La dynamique de groupe et les droits de l’enfant ».

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XALIMA NEWS: Au niveau du Sénégal, comme nous le savons, il y a un projet de violences faites aux enfants, qui a été élaboré au niveau national et international. Au sortir de l’atelier de Ouaga, il y a eu des échanges sur les violences faites aux enfants, tout en s’appuyant sur les recommandations des nations unies. Les recommandations font état de lutter efficacement contre ces violences et c’est à partir de là, qu’on a essayé de voir comment prendre en charge ces problématiques. Selon Samba Fatim Mbaye conseiller en développement communautaire au niveau de Plan/Thiès pour la lutte contre les violences faites aux enfants. « L’implication des enfants contre la lutte faite à leur encontre est aussi un élément important. L’objectif était de mettre dans les douze pays de l’Afrique de l’ouest qui regroupent ce projet ; d’avoir ce qu’on appelle les conseils consultatifs nationaux. Qui veut dire que ces conseils consultatifs sont constitués d’enfants issus d’organisations déjà reconnues d’une structure vraiment qui peut apporter des réponses à ces problématiques. Au niveau de Plan/Sénégal, il était difficile d’avoir une ressource nécessaire qui va se consacrer à ce projet. Mais c’est par la suite un partenaire comme la conafe; qui a l’expertise locale pour nous appuyer à mettre en place ce conseil consultatif qui regroupe l’ensemble des jeunes du Sénégal ». Lors de ce rencontre vingt huit enfants représentant deux pour chaque des quatorze régions du Sénégal ; tous élus par leur base étaient à cet atelier de renforcement. Ce groupe de vingt huit qu’on peut considérer comme un comité directeur dans lequel, il y a un bureau qui va représenter le Sénégal dans la sous-région. Il y aura des rencontres et des forums qui seront organisés pour essayer de résoudre beaucoup de problèmes par rapport aux violences faites aux enfants. Comme ce forum qui a été organisé à Accra, qui a permis aux jeunes d’échanger sur plusieurs plans. Mais cet atelier parrainé par la conafe, c’est pour permettre à leur capacitation, pour que l’enfant puisse avoir un minimum d’expertises pour savoir comment parler aux autres.
Frédéric Diallo Xalimasn Thiès.

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