Le ministre de l’Industrie et des Mines Aly Ngouille Ndiaye s’est constitué en avocat pour défendre le jeune frère du président de la République Macky Sall, le maire de Guédiawaye Aliou Sall, selon lui, ce dernier ne possède aucune action d’une société minière ou pétrolière au Sénégal et que toute personne qui détient les preuves, n’a qu’à les publier.
«Il y a de la mauvaise volonté. Il y a de la volonté manifeste de nuire. Aliou Sall est un citoyen sénégalais. Moi, en tout cas, je n’ai vu aucun document prouvant qu’Aliou Sall est actionnaire d’une quelconque société pétrolière ou minière. Pourtant, certains qui dénoncent cela ont des actions dans des sociétés minières », a soutenu le ministre de l’Industrie, sans citer de noms.
Selon Aly Ngouille Ndiaye, un citoyen sénégalais qui n’est pas un employer de l’administration, rien ne lui empêche d’avoir des actions dans une société minière ou pétrolière.
«Mais, pour le cas d’Aliou Sall, dans le cadre de Petro Tim, il n’est pas actionnaire. Si quelqu’un veut prouver qu’il est actionnaire, il n’a qu’à montrer les documents. Quand on est actionnaire d’une société surtout une société qui est constituée au Sénégal, mais, on a accès à tous les documents qui le justifient», a-t-il ajouté.
Dans le nouveau code minier que le gouvernement du Sénégal est en train de faire, il y est mentionné, d’après lui, de «façon très, très claire», que tous les contrats qui seront signés vont être publiés.
«Le code minier, une fois qu’il est approuvé, aucun contrat ne peut plus être confidentiel. Il est important qu’on sache déjà que les contrats de pétrole, les contrats de recherche de partage, qui sont négociés par la direction des hydrocarbures, et Petrosen avant d’être validés font l’objet de longues négociations», a-t-il précisé.
Le ministre des Mines estime qu’à ce stade-là, compte-tenu des dispositions légales, il ne faut pas également que ces gens qui, d’après lui, «sont responsables» disent à l’Etat qu’il faut aller vers l’illégalité.
«Aller vers l’illégalité, c’est publier des contrats. Lors qu’on signait ces contrats, le président Sall n’était pas encore là. Dans ces signatures de contrat, il était clairement expliqué dans les codes que nous ne pouvons pas les publier. Le fait de ne pas publier de contrat ne veut pas dire qu’on ne publie pas toutes les recettes qui viennent des contrats», a-t-il dit.
Le frère du président de la République est accusé d’être actionnaire de Petro-Tim, une «Société Anonyme Unipersonnelle» au capital de 10.000.000 FCFA, dont il était le gérant.
Selon Ousmane Sonko, sur la vente d’actions de la société Petro Tim par Aliou Sall, un montant de 90 milliards devait être versé au fisc. Et pour la transaction d’exploitation des blocs pétroliers Saloum On shore et Sénégal Sud, le gouvernement a encaissé 22 milliards Cfa qui ne sont jamais arrivés dans les caisses du Trésor public. Mariama Diémè
lignedirecte.sn
Maintenant tu peux ouvrir ta grande gueule,et essayer de d’enfumer les sénégalais.bien sur qu’il ne détient plus rien après avoir vendu les licences qu’il détenait … à cairn energy
En plus de Timis,tender et les Sall, à coup sur t’as empoché ta commission…
!!! Vous méritez d’être pendu sur la place de l’obélisque… Sales voleurs et cause de la grande pauvreté…
Personne ne peut se constituer en avocat d’aliou Sall. Personne ne pourra le disculper. Le mal est fait. Les sénégalais sont convaincus de sa culpabilité.
Il croupira en prison comme Macky. Wait and see.
Lui meme est dans la merde Aly ngouille n’diaye car trempe jusqu’au cou.
Malheureusement ce régime pense que ns sommes encore dans les années 60. Il se trompe d’époque et de peuple pour reprendre sonko. Il n’y a personne, je dis bien personne dans ce régime qui ait une once de crédibilité à nos yeux. Vous allez voir bientôt inshallah
Aly Ngouye Ndiaye, AKA Aly « Ndiouthie Ndiathie », champion du conflit d’intérêts, se fait l’avocat du diable. Aliou Sall est indéfendable. Il est pire que Karim Wade. Demain, il fera jour ! Vous répondrez ensemble de vos faits (délit d’initié, conflits d’intérêts, corruption…etc.) devant qui de droit !