Bras de fer Etat-Syndicats d’enseignants: La rencontre de la « dernière chance » n’a rien donné

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A quelques deux mois de la fin de l’année scolaire, aucune issue n’a encore été trouvée pour sauver l’école sénégalaise.
Le Gouvernement qui rencontrait encore une fois les syndicats d’enseignants continuent leur dialogue de sourds.
Les négociations butent toujours sur la question des indemnités de logement réclamés par les enseignants. Ces derniers accusent l’Etat de verser dans l’immobilisme.
En marge de cette rencontre le cusems juge que l’Etat du Sénégal est dans une dynamique de confrontation et n’entend faire aucun effort pour leur accorder des concessions.

Le gouvernement pour sa part estime qu’on ne pas exiger une chose et le vouloir tout de suite.
senenews.com

5 Commentaires

  1. Diminuez les caisses noires du President de la Republique, du President de l’Assemblee Nationale et celles des autres vauriens et reglez celles des enseignants qui sont les plus meritants d’autant plus ils forment des futurs presidents, ministres et cadres. Donc vous les cadres d’aujourd’hui refairez-vous quand vous etiez eleves, etudiants ou enseignants. Bandes de laches, opportinistes et nafekhs. Bastas.

  2. Si les enseignants sacrifient nos fils, nous parents d’élèves, nous demanderont tout bonnement la suspension de leurs salaires (finctions public, contractuel et ceux dans les écoles privées et de formations privées) et indamnité jusqu’à nouvel ordre (voir le reste de l’année et l’année suivante) et la privatisation du secteur ( convions l’éducation nationale aux ONG par exemple).

    • Il faut plus de patriotisme aux enseignants. Ils doivent savoir que le rôle d’un enseignant est avant tout une tache patriotique qui ne peut pas être récompensé à sa juste valeur et d’ailleurs c’est le cas pour les travaux. Ainsi métiers d’enseigner ne doit être une tache confier à n’importe qui. Si les enseignants mettent en avant le caractère pécuniaires de leurs travail et vu le nombre qu’ils sont ils ne seront jamais en phase avec le gouvernement. Je les appelle à plus de retenu et considération envers les sénégalais et de ne pas être des individualistes.

  3. Il est temps de sonner la fin de la récréation et l’Etat doit prendre ses responsabilités. Il n’est pas acceptable que les enseignants essayent de prendre en otage le peuple, c’est à la limite même manquer de conscience citoyenne.

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