En effet, comme beaucoup s’y attendaient, le sommet du G7 s’est terminé dans un bordel indescriptible avec un tintamarre jamais égalé. Traditionnellement, il se passait assez bien entre les dirigeants des pays les puissants au monde. Pendant leurs différents sommets, ils décidaient unilatéralement de la marche à suivre pour les affaires mondiales sans consulter les pays pauvres. Des partages de territoires, des guerres et des coups d’état étaient planifiées lors de leurs somptueuses réunions avec la complicité de leurs médias. Il y a eu souvent des tensions entre ces pays à cause de la gourmandise de certains d’entre eux, à vouloir s’accaparer de toutes les richesses mondiales. Mais ils arrivaient toujours à trouver un terrain d’entente. Leur objectif ultime est de maintenir les pays du tiers monde dans l’extrême pauvreté et dans la mendicité chronique.
Que s’est-il passé cette fois-ci ? Depuis un certain temps tous les pays voient les États-Unis comme un paradis pour faire des affaires. On remarquera que presque les trois quarts de la production canadienne vont au pays de l’oncle Sam. C’est donc notre plus grand partenaire économique. Du point de vue du président américain, leur pays est une vache à lait pour tous les pays du monde. C’est pourquoi, il s’est senti de plus en plus désavantagé et frustré par ce déséquilibre. Il est venu au sommet du G7 presque à reculons car il savait qu’il n’avait rien à y gagner. Il préparait son meeting avec le leader nord-coréen où les enjeux étaient plus énormes. Selon des sources américaines, ce dernier aurait mentionné à ses collègues du G7 qu’il ne prendrait aucun engagement à l’issue de ce sommet car les différents commerciaux grandissaient continuellement en défaveur des États-Unis. Les autres dirigeants auraient insisté, mais ce dernier aurait tout simplement décliné leur offre et prit congé pour Singapour. A sa grande surprise, Il apprit dans le communiqué final que son pays était partie prenante des divers accords retenus. Or apparemment, tel n’était pas le cas. C’est pour quoi il s’est senti trahi par ses homologues et plus particulièrement par Mr Justin Trudeau qui était l’hôte du sommet. Ainsi, Mr Trump l’a traité de » malhonnête » et de faible » après s’être senti trahi. Traditionnellement, les dirigeants canadiens ont toujours ménagé leurs semblables ou comparables américains. Ils n’avaient pas le choix à cause des liens économiques extrêmement importants. Et il semblerait que cette règle de conduite aurait violé cette fois-ci. Des raisons de diversifications de marchés seraient peut-être à l’origine de cette mauvaise orientation diplomatique canadienne car on s’intéresse de plus en plus aux marchés asiatiques et européens qui progressent vite. D’autres parlent de l’inexpérience du nouveau venu.
Nos parlementaires ahuris, déboussolés et affolés ont tenté de recoller les pots cassés suite à la débâcle diplomatique de Mr Justin Trudeau avec une motion de soutien. De toutes les façons c’est ce dernier qui a utilisé le terme ‘’insultant’’ en parlant des derniers tarifs douaniers américains sur l’acier et l’aluminium. Somme toute, ce terme est inapproprié en diplomatie. Malheureusement, il n’a pas encore réalisé l’importance de notre voisin du sud qui est la première puissance mondiale.
Il faudra remarquer que Mr Trudeau a un vocabulaire très pauvre. Probablement, il ne connait pas la portée de certains mots. Il passe du français à l’anglais mais on ne comprend pas ce qu’il veut dire réellement. On s’est vite rendu compte de son incapacité et de son impuissance à offrir aux peuples canadiens et québécois un bon gouvernement. Il dépense sans se soucier de l’intérêt de ses concitoyens aux prises avec de lourdes charges fiscales. Ces dépenses farfelues ont déjà plongé le Canada dans un déficit gigantesque. On est déjà dans un tunnel noir et on ne voit pas le bout. Notre avenir est hypothéqué. Celui qu’on appelle au Québec le » sans génie économique » vient encore de jeter l’argent des contribuables ($600.00 millions de dollars) par la fenêtre pendant le G7.
C’est tout simplement un gaspilleur de fonds publics et un expert dans des dépenses futiles. Son dernier voyage en Inde a été décrié partout au pays. Et il a été qualifié de désastre et de honte diplomatique. Il lui a été impossible de nous représenter comme un fier canadien. Au contraire, son attitude et son déguisement ne reflétaient pas nos valeurs canadiennes et québécoises. De plus, il aurait dépensé 1.5 millions de dollars qui est une somme très importante qui serait utile ailleurs.
Au demeurant, notre politique étrangère bat de l’aile partout à travers le monde. Certains de nos diplomates en poste en Afrique noire sont vus comme des menteurs sans scrupules, des truands, et des marchands d’illusion. On les assimile également à des individus immoraux qui boivent de l’alcool pendant le ramadan et le carême. En général, nos diplomates occidentaux sont perçus comme de dangereux prédateurs venus d’ailleurs, piller et voler des ressources qui les n’appartiennent pas. D’autres langues africaines les assimilent à des sangsues ou à des vampires venus boire les dernières ressources des africains démunis, malades, mourants et très pauvres. Ils le font avec la complicité de leurs gouvernements qui sont en partie responsables de l’augmentation de la mortalité dans ce continent africain Ils méprisent souvent les populations locales de par leur arrogance, leur supériorité et leur impolitesse.
Au niveau national, le message de Mr Trudeau ne passe plus. La plus grande province du pays, l’Ontario, vient de tourner le dos aux libéraux. Les gens du Saguenay (Chicoutimi-Le-Fjord) viennent de lui administrer une humiliante défaite électorale ce lundi 18 Juin 2018. Le parti libéral du Canada n’aurait récolté que 29.50 %. Ainsi, la deuxième province du pays, le Québec, s’apprête également, à lui dire au revoir, monsieur « LE LEGALISATEUR DU CANNABISS« . Ses gaffes diplomatiques s’accumulent et on s’attend à ce qu’il nous représente très mal au prochain sommet de l’OTAN et qu’il revient avec une autre débâcle voire un naufrage diplomatique. (À suivre).
Gondiel Ka
Montréal, Canada
Membre des libéraux déçus
514-259-0613
Malgré les difficultés avec l’administration Trump et les incertitudes concernant la renégociation en cours de l’ALENA, le marché de l’emploi canadien reste vigoureux, le dollar canadien se raffermit avec la hausse continue des prix du pétrole et tend vers 0.82$US, la croissance du PIB est positive et restera à 2% selon les économistes de la Royal Bank of Canada en 2018 , tout le contraire des inepties de ce qui est ici écrit