XALIMANEWS- Après trois jours d’intense traque, PressAfrik a mis la main sur des éléments consistants concernant la fille la plus recherchée du Sénégal depuis samedi. Photos authentiques, discussions, audio, détails croustillants sur sa vie privée.
dji Raby Sarr pour les intimes, est originaire de Diamniadio, un village limitrophe des Îles du Saloum, juste après Foundiougne (c’est une ville de l’ouest du Sénégal, située dans le Sine-Saloum) où habite son père. Elle a grandi et a commencé ses études dans la commune de Djirnda. Sa maman était basée au village de Maya, à peu près dans la même localité.
C’est à l’âge de 7 ans que Adji Raby a perdu sa maman, une cantatrice sérère qui accompagnait Faya Mbodj, digne héritière de la célèbre Khady Diouf Yerwago, auteure du tube « Diofior Arrondissement ». C’est ainsi qu’elle est passée entre les mains de plusieurs tutrices entre Djirnda, Diamniadio, Djiffer, Ndangane Sambou jusqu’à Dakar.
Une réputation de moeurs légère collée à sa peau depuis le Collège
L’adage Wolof qui prétend que la bonne réputation d’une personne est d’abord certifiée par ses parents et proches porterait beaucoup préjudice à Adji Raby Sarr. En effet, l’accusatrice de Ousmane Sonko n’a pas bonne presse auprès des siens.
Ses cousins, son amie proche avec qui elle a échangé des messages dernièrement, ses anciens camarades de classe avec qui PressAfrik a échangé sont tous unanimes au sujet de la masseuse la plus célèbre du pays. Une fille facile qui n’a jamais hésité à trahir les copains avec qui elle était en couple pour tirer un profit matériel chez d’autres hommes.
« Déjà à l’époque, en classe de 5e au Collège de Djirnda, Adji Sarr était belle, charmante, sexy. Mais elle était infidèle, sortait avec plusieurs hommes et totalement hors du contrôle de sa tutrice. Elle avait un faible pour les beaux gosses et l’argent« , confie cet ancien camarade de classe de celle qui accuse Sonko de l’avoir plusieurs fois violé et aussi menacé de mort.
Selon ce dernier, Adji a quitté l’école en classe de 3e alors qu’elle n’avait même pas terminé l’année.
« Les Modou-modou du village se passent son numéro pour pimenter leurs vacances au Sénégal »
Contacté par PressAfrik, ce cousin de Adji Raby établi en Europe a raconté deux anecdotes pour nous faire le portrait moral de la masseuse de Sweet Beauté Spa. « Honnêtement, on ne se parle plus depuis belle lurette, Adji Raby et moi. Mais il y a deux ans quand nous sommes venus à Dakar, récupérer nos passeports pour voyager, un ami et moi, nous l’avons croisée à Grand-Yoff. Elle a demandé à mon pote 1000 Fcfa et ce dernier a sorti de sa poche la somme de 50 000 Fcfa avant de lui demander de passer à l’appartement où nous logions prendre sa part de cet argent. Quelques heures plus tard, quand elle est venue, je suis sorti pour les laisser dans la chambre. C’est après que mon ami m’a raconté qu’il avait passé du bon temps avec elle« , confie son cousin.
Qui ajoute que « tous les ressortissants de leur village établis en Europe se passent son numéro quand ils viennent en vacances au Sénégal ».
Un de ses parentes habitant à Pikine Guinaw rails et chez qui Adji Sarr a logé pendant trois mois, durant son premier séjour dans la capitale sénégalaise est revenue sur son profil et le parcours de l’accusatrice de Sonko. Dans cet élément audio, elle fait l’historique de cette dernière depuis sa naissance.
Disparue de toutes les plateformes en ligne et injoignable sur ses numéros personnels depuis l’éclatement de l’affaire samedi, Adji Raby Sarr est une parfaite inconnue du public sénégalais. Si tout le monde cherche à mettre un visage sur celle qui a plongé le pays dans une instabilité politico-sociale, PressAfrik a mieux. Des photos et même la voix de la demoiselle. Dans cet élément audio de quelques secondes envoyé à une de ses amies proches, elle se lâche et invite cette dernière à déblatérer.
Ces témoignages des proches de Adji Sarr viennent renforcer les déclarations de la patronne du salon Sweet Beaute Spa sur elle. « On m’avait dit des choses sur elle qui sont avérées. C’est pourquoi je l’ai renvoyée. J’ai constaté qu’elle ment beaucoup. Elle est capable de prendre le téléphone des gens et de transférer leurs messages à d’autres personnes. Elle n’était pas professionnelle« , confiait Ndeye Khady Ndiaye dans un entretien avec Emedia dimanche dernier.
L’accusatrice de Ousmane Sonko est donc décrite par ses proches et parents comme une fille de moeurs légère, une matérialiste, une arriviste qui a semé le désordre partout où elle a eu à séjourné de Djirnda à Dakar. Tout ceci ne doit pas occulter le fait que ses accusations contre Sonko sont très sérieuses et doivent être traitées avec toute la rigueur qui sied sans tenir compte de son passé.
Pressafrik
Adji Raby Sarr incha Allah tu va souffrir avant de mourir et courage à sonko