Madiambal Diagne sur la réaction de la presse, suite à l’interview du chef de l’Etat au journal Le Monde : « On doit balayer devant nos portes »

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Xalima news – « Je ne déplore pas la réaction de la presse par rapport à l’interview que le chef de l’Etat a accordé au journal Le Monde. C’est un choix que je peux comprendre et il faut aussi ne pas oublier la cible à atteindre. Et la presse doit se regarder et essayer de savoir pourquoi ce choix ? Cet entretien accordé au journal Le Monde a été repris par une bonne partie de la presse. Si elle été accordée à la TFM ou une autre chaine, personne n’allait le reprendre. Il faut que nous balayons devant nos portes », a-t-il indiqué sur les ondes de la RFM.

Par E. Thiam

8 Commentaires

  1. C’est unimbecile ce gars! le masque est tombé ;maintenant tu bouffe ta part du gateau c’est pourkoi plus de critique; Au contraire tu defend le PR tu risque de finir comme Jules Diop et Latid! tu vas y laisser ta plume à jamais.

  2. C’est un imbecile ce gars! le masque est tombé ;maintenant tu bouffe ta part du gateau c’est pourkoi plus de critique; Au contraire tu defend le PR tu risque de finir comme Jules Diop et Latid! tu vas y laisser ta plume à jamais.

  3. C’est Madiambal en personne qui tenait à ce que Mrième Faye Sall et sa maman participèrent au baptême de sa nièce J’ai écrit ici même que ce monsieur est irrécupérable, il ne va plus faire quoi ou écrire quoi qui puisse déplaire à Marième et à Macky ! Ce monsieur ne croit même pas au métier de journalisme et certains de la presse semblent le craindre et je ne sais pourquoi ! Le journalisme indépendant sera par terre à cause de ce monsieur qui veut encore des millions comme sous Wade, soit par commande du gouvernement en annonces soit en dessous de table !

  4. Qu’est ce qu’il est devenu extrêmement ridicule, le Madiambal (NB: Il a tjs été ridicule). Mais si la presse balaie devant sa porte Madiambal sera le premier à se retrouver dans le camion « ballit ». Parce que Madiambal est un greffier radié. Les greffiers ne veulent pas de lui, il entre, en violation dans la presse. Et c’est cet homme qui veut donner des leçons de journalismes aux journalistes ?

  5. ki reprocher a wade de communiquer avec la presse étrangère qui disé que kil est blanc comme nege c se même monsieur ki fesait des santages à des directeurs de sociétés a la veille des election de 1999

  6. Quand j’étais trés jeune, il se racontait que le métier d’avocat conduit à l’enfer et qu’il fallait s’en méfier. J’ignore l’origine de cette information mais avec ce qui se passe dans ce pays depuis trois décennies et surtout avec l’arrivée de la clique à Ndiombor au pouvoir, les anciens ne sont pas loin de la raison. Mensonges, désinformation, intrigue, manipulation, ruse, assassinat, vol, etc. sont des pratiques dont les promoteurs ne peuvent pas franchir la porte du Paradis.

  7. Un président sénégalais qui par la presse internationale fait passer un message n’est pas nouveau. C’est un exerce auquel tous les présidents sénégalais se sont livrés. Certes il y a une part de vérité pour ce choix des médiaux internationaux qui peut aussi s’expliquer par le comportement de notre presse.
    Le message que Macky par le journal le monde destiné à la consommation internationale, en réponse à la campagne médiatique du vieux Wade depuis Paris et Abidjan. Il y a rien de nouveau pour nous les sénégalais dans ce message.
    Pour ce qui est des lamentations sur l’utilisation des médias internationaux, que voulez – vous ? Tout ce qui intéresse la presse locale c’est passer tout le temps à relater des accidents de cars Ndiaga Ndiaye cognant sur des camions de foin, couvrir n’importe quelle manifestation, si petite soit-elle, tendre le micro à de prétendus chefs religieux plus connus dans des conneries que dans la maîtrise du Coran et de la Souna du prophète de l’Islam, se ruer sur des scandales sexuels, etc. Il n’y a rien de sérieux.
    Récemment, des journalistes ont été convoyés avec les moyens de l’Etat à Paris pendant les négociations du PSE. Tout ce qu’on entendu de ces envoyés spéciaux ce sont des faits divers : un incident entre deux ministres, la façon de manger et de s’habiller d’un tel autre, etc. Un animateur en profite même pour aller tailler bavette avec le vieillard de Versailles pour en faire un exploit.
    Ces médias sénégalais auraient dû rentrer avec beaucoup d’informations sur les bailleurs, leurs intentions réelles, leurs engagements, etc. mais nada, touss. Il fallait chercher des interviews à leur niveau et c’était l’occasion unique pour donner aux sénégalais les informations que les officiels n’avaient pas fournies.

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