Un troisième nom est apparu, suite aux auditions de A.N et K.D, dans l’affaire du scandale porno aux Sicap Liberté. Selon les deux actrices, c’est une nommée Agnès, qu’elles ont connue en 2006 au Lycée John Fitzgerald Kennedy, qui les a mises en rapport avec le « toubab », dont elles ignorent jusqu’ici le nom et la nationalité. D’intenses recherches sont en cours pour retrouver Agnès qui, depuis, a quitté cette école tout comme A.N et K.D.
L’enquête de la Dic pour faire la lumière sur l’affaire dite scandale pornographique aux Sicap Liberté avance à grands pas. Un nom est apparu constamment lors des auditions de K.D et A.N, les deux actrices du film, toutes deux mineures à l’époque des faits. Lors de leur face-à-face avec les enquêteurs, elles ont affirmé qu’elles ne connaissaient pas directement le « toubab » auteur du film. D’ailleurs, elles disent ignorer jusqu’à son nom et la nationalité.
Dans leurs dépositions, elles ont séparément impliqué une rabatteuse dans cette affaire rocambolesque. Selon en effet, K.D et A.N, c’est une nommée Agnès qui les a mises en rapport avec le « toubab ». Elles ont indiqué l’avoir connue en 2006, alors qu’elles étaient en classe de seconde au Lycée Kennedy, où Agnès elle-même était inscrite. Plus âgée que les deux actrices, c’est cette dernière qui aurait tout fait pour les mettre en rapport avec le « toubab ».
D’après elles, Agnès, qui a quitté l’école depuis, les a amenées chez le « cinéaste » qui leur proposera une modique somme d’argent, avant de prendre des photos et faire un film qui se retrouvera par la suite dans le net. Agnès, recherchée par les enquêteurs, est introuvable. Ces recherches s’avèrent difficiles, d’autant que les deux mises en cause ne connaissaient pas l’adresse de la rabatteuse.
Cheikh Mbacké GUISSE
lasquotidien.info
Je n’avais jamais entendu parler de cette histoire mais je suis currieux d’en connaitre les suites.