Françafrique – Abdou Diouf en a une lecture particulière

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XALIMA NEWS – La Françafrique avec tout ce qu’elle charrie de fantasme, de nébuleux, d’incestueux dans les rapports entre l’ancienne puissance coloniale et ses ex-colonies, Njol Diouf en a une lecture particulière. Voilà ce qu’il en dit dans on interview : «Je ne l’ai jamais connu, je suis désolé de le dire. Je n’ai jamais en tant que président de la République ou Premier ministre de mon pays vécu cela comme un lien incestueux. J’ai considéré que c’était des relations d’amitié privilégiées qui continuaient dans l’intérêt de la France et de l’Afrique. Et je n’aime pas d’ailleurs qu’on l’appelle la Françafrique, je dis les sommets des chefs d’Etat d’Afrique et de France». S’agissant de l’Afrique, il pense qu’elle «va mieux, l’Afrique progresse. L’Afrique va dans le bon sens aussi bien sur le plan économique que politique ». Njol pense que «la croissance sera là, elle est déjà là. Le problème qui se posera, c’est la répartition des fruits de cette croissance parce que là où nous parlons il y a encore de la pauvreté, il y a même l’extrême pauvreté ce qu’on appelle la misère».

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2 Commentaires

  1. De toute l’histoire politique du Sénégal, Abdou Diouf est le seul à qui le pouvoir a été transmis comme dans un royaume. Dans sa vie, il n’a rien obtenu par la lutte ou l’endurance. Son seul mérite c’est de savoir bien servir ses chefs. Il a servi Senghor qui lui a donné le pouvoir comme récompense. Ensuite il a servi la France qui lui a donné la Francophonie comme récompense. Mais Diouf n’a jamais eu du respect, de l’amour ou de la compassion pour ce brave peuple sénégalais. Pour lui, on était pas digne d’habiter à coté de chez lui, de le côtoyer dans les rues ou à la mosquée et c’est la raison pour laquelle il a préféré aller vivre en France comme son chef Senghor. Pour Diouf, il pouvait nous diriger mais ne pouvait habiter avec le sale nègre. Que du mépris pour les sénégalais. Wade malgré tous ses qualités et défauts partage avec son peuple la chaleur de l’été, la mosquée pendant les jours de prière et le peuple peut lui serrer la main avec fierté. !

  2. @ SEN=GAL,je ne suis pas daccor avec tes arguments que tu avances. il n y a ni fondement, ni vérité. On peut ne pas aimer une personne, mais qu on se fait avec élégance.Je préfère qu une personne que je ne connais pas me vole, plutôt celui qui me tend la main ts les vendredi a la mosquee, dans mon quartier, le fasse.Il y a une différence entre discret et voyez moi. A chacun de faire la différence qui véhicule quoi?

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