La ville suisse de Montreux, célébre pour son festival de jazz, accueille du 22 au 24 octobre 2010 le 13 sommet de l’Organisation internationale de la francophonie (Oif) dirigée par l’ancien président Abdou Diouf qui pourrait à l’occasion briguer un troisième mandat. Toutefois, la romancière franco-camerounaise, Calixthe Beyala serait également sur les rangs. Avec quelles chances ? Si sa « pré-campagne » est axée autour de la nécessité de redonner un élan culturel à l’organisation devenue trop politique à ses yeux, elle aura du mal à faire accepter l’idée d’un troisième africain à la tête de l’Oif après l’Egyptien Boutros Ghali et le Sénégalais Abdou Diouf. Il y a aussi peu de chances que la France la présente au poste parce que d’abord il est de tradition qu’un Français n’occupe pas le poste et ensuite, la brillante romancière aura fort à faire pour convaincre le président Sarkozy pour plusieurs raisons, en particulier ses prises de position contre la droite au pouvoir. Elle est le deuxième écrivain africain, après l’écrivain Congolais Henri Lopes, à truster le poste. Mais la principale question est celle-ci : après deux mandats à la tête d’une organisation internationale et à 75 ans, n’est-il pas temps pour « Ndiol », comme l’appellent ses compatriotes en référence à sa grande taille, de passer la main ?
– Par Papisco –
nettali.net
diarama abdou diouf, toi au moins on aura pas honte de parler de toi au n iveai intenatonal, au contraire de notre president wade
moi je t’ai pas connu vraiment car ètant jeune au moment ou tu ètais president
mais je t’admire bcp et dis jutse que wade devrait s’inspirer de toi
Ce coup-ci Diouf manque de classe. Il aurait pu en rester à 2 mandats comme cela était de coutume. Ensuite se disputer l’affaire avec Beyala c’est tout aussi abaissant. Bonne chance quand même!
Je voudrais dire deux choses sur ce sujet :
Après deux mandats et à plus de 70 ans, Abdou Diouf devrait pouvoir passer la main et aller jouir d’un repos bien mérité.
D’un autre côté, élire Calixte Beyala, avec toutes les casseroles qu’elle traîne, ce ne serait pas honorer Abdou Diouf, s’il se représentait, mais ce ne serait pas non plus relever les prestige de l’OIF!!!
Amicalement vôtre!!!
Ah, la soif de pouvoir leur colle à la peau à ces anciens dirigeants africains ! Mais ne vous en faites pas , la FRANCE ne laissera jamais Mme Beyala dissiper les efforts de survie de sa langue dans un monde ou’ l’anglais a tendance à s’imposer. Saluons quand meme le culot de cette dame.