La famille de Ndiaga Diouf se félicite du jugement de Barthélémy Dias

Rappel de Janvier 2013.
A force de penser faire peur à des gens qui ne reculent pas face à leurs menaces de mettre le pays à feu et à sang, ils en sont arrivés à commettre un crime et à l’applaudir. Ils mettent ainsi sous l’éteignoir et la foi et la loi. Beaucoup s’en laveront les mains dans quelques jours. Mais Barthélémy, lui, s’en est fini pour lui. Encore une victime des médias. Il l’est tant et si bien que la vue d’un micro lui devient une drogue psychédélique, il ne se rend plus compte de ce qu’il dit. Il ne lui reste que les convulsions. Mais il retombera sur terre et saura qu’aucune médiatisation, aucun applaudissement ne viendra à bout de sa conscience salie à vie. Il la traînera salie comme son père traîne, lui aussi, ses deux morts. Malick Noel, retombé du nuage sur lequel la presse l’avait porté, entrevoit des regrets. Lui, Barthélémy, versera des larmes de sang. La poussière qu’est le mensonge par matraquage médiatique retombera bientôt et il ne restera que la seule vérité. En ce moment Barthélémy saura qu’il a toujours été entouré par des ennemis qui l’applaudissaient. S’il a de la chance, il méditera cette sentence de Rassoulallah (SAS):  » Soutenez votre parent qu’il ai raison ou qu’il ai tord. S’il a raison soutenez le. S’il a tord, dites lui qu’il est dans le faux et c’est ça le soutien ». Barthélémy vient de se brûler les doigts applaudis par ses ennemis et critiqué par les gens lucides.