La sortie de certains membres de l’opposition, soutenant que le Sénégal pourrait connaître le syndrome tunisien, a mis la ministre d’Etat, ministre de la Femme dans tous ses états. Ndèye Khady Diop, après avoir taclé les « oiseaux de mauvais augure », se dit certaine que ce qui s’est passé en Afrique du nord ne se passera jamais au Sénégal. Présidant l’inauguration du Centre de couture et de perfectionnement de Bongré, ainsi qu’une assemblée générale dans son quartier, Ndèye Khady Diop s’est inscrite en faux contre les prévisions alarmistes de la classe politique, en particulier de l’opposition qui prédit le syndrome tunisien et égyptien dans notre pays. Sur un ton ferme, la ministre d’Etat, ministre de la Femme, par ailleurs responsable libérale de Kaolack a soutenu que ce qui se passe en Afrique du nord ne se passera jamais au Sénégal. Car, explique-t-elle, les traditions et les valeurs culturelles maghrébines et celles sénégalaises ne sont pas les mêmes. « Ce qui se passe actuellement ailleurs ne se reproduira jamais ici pour plusieurs raisons », jure-t-elle. Comme arguments, elle indique d’abord que le Président Abdoulaye Wade a autorisé la liberté d’expression, les libertés individuelles et collectives. « En plus, contrairement aux autres pays, au Sénégal, terre de cousinage, de solidarité et d’entraide, nous sommes tous des parents », a soutenu Ndèye Khady Diop qui administre par ailleurs un tacle appuyé aux responsables de l’opposition. Pour elle, c’est jouer aux oiseaux de mauvais augure que de souhaiter à son pays, son peuple, des tensions. Ndèye Khady Diop, qui appelle la classe politique à plus de retenue, pour, dit-elle, préserver la cohésion nationale, d’ajouter que le candidat des libéraux pour l’élection de 2012 demeure Abdoulaye Wade. Dans cette optique, elle argue avoir quadrillé la commune tout entière. « Nous avons entamé un travail de reconquête de la commune, nous détenons toutes les cartes d’électeur de ceux qui sont avec nous », assure-t-elle. Dans le reste de la région, dit la ministre, « nous procéderons de la même façon. Nous avons entamé une médiation à Nioro. La semaine dernière, nous étions à Guinguinéo. Pour l’élection présidentielle, nous avons deux défis. Premièrement, taire nos querelles ; deuxièmement, faire gagner notre candidat, pour l’honneur du Premier ministre qui jouit de la confiance du chef de l’Etat », chantonne l’ancienne directrice de l’Agence nationale de la Case des Tout Petits qui multiplie les tournées et accentue les activités politiques dans le Saloum. Papa Samba SENE
lasquotidien.info
Continuez de rêver Madame, le meulleur moyen d’amener le senegal à être comme la Tunisie et l’Egypte c’est de vouloir mettre ton mentor karim à la place de son père ou de forcer la candidatiure de Wade
Cette dame comme ces autres collègues sont aveugles, sourds et muets. Mieux vaut prévenir que …
Cette dame est dans le délire. Qu’elle continue de rêver. Si des incompétents, des corrompus, comme elle continue de nous gouverner je vous jure ce sera l’enfer. Si elle pense aux cités religieuses, qu’elle sache que les gens qui en ont marre non point de religion.
L’ennui dans ce monde, c’est que les idiots sont sûr d’eux et les gens sensés pleins de doutes.
casse-toi petasse……………..d abord tu ne dois meme parler…………espece de voleuse………….