Fermeture des bases militaires françaises au Sénégal Près de 3000 emplois menacés

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Après l’annonce officielle de la fermeture des bases militaires françaises au Sénégal, c’est le spectre du chômage qui inquiète déjà les milliers de travailleurs sénégalais qui dépendent de la présence de ces camps sur le sol sénégalais. Estimés à plus de 3000 agents par le Syndicat national des armées, des services de sécurité public-privé et assimilés (Synpas), tous ces travailleurs sénégalais pourraient ainsi se retrouver sans emploi. Le Synpas évoque par là un réel drame social en vue.

Ainsi, le départ des Forces françaises du Cap-Vert n’est donc pas sans conséquence. Et au-delà de ces pertes d’emploi, il y a également l’aspect économique au regard du nombre de militaires français (1200 hommes) vivant avec leur famille au Sénégal et dont la participation au pouvoir d’achat serait évaluée à 22 milliards de francs Cfa.

Toutefois, face à cette inquiétude, les responsables syndicaux ne comptent pas se laisser faire et envisagent de réunir tout le personnel de recrutement local en vue de défendre leurs intérêts et de protéger leurs emplois menacés. En attendant, le spectre du chômage plane déjà sur la tête de ces milliers de Sénégalais.

Un nouveau drame social qui risque de venir s’ajouter à la longue liste des pertes d’emplois après de nombreuses fermetures inopinées d’hôtels, d’entreprises…

Lagazette.sn

3 Commentaires

  1. On est là,on laisse faire et on croise les bras,pendant ce temps les wades bradent les terres sénégalaises aux arabes,chinois et autres je ne sais quoi.Comme nous sommes un peuple qui baisse la téte

  2. q`’ils retourne en france ,et nous laisse avec notre sènègal ,ils ne font que espionner et baiser nos femmes africains ses soidissant soldats francais,ou soldats des plages ,restaurants et discotèques senegalais …

  3. A doudou de barcelone
    j’espère que là où vous êtes vous portez un slip en fer pour ne pas monter les filles espagnoles.
    La question n’est pas là. Tout le monde sait que se sont les terrains qui intéressent wade Sa. ce n’est pas une question de souveraineté encore moins de je ne sais quoi. Attention à la goutte qui fait déoborder le vase.

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